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PRÉSENTATION : Le Racing 92 pour écrire l’histoire

mardi 5 avril 2016

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Face au triple champion d'Europe toulonnais

Face au triple champion d'Europe toulonnais

Face au triple champion d’Europe toulonnais, l’ambitieux club francilien possède une occasion en or de frapper un très grand coup. Toulon va-t-il abandonner sa couronne ?

C’est l’histoire de destins parallèles qui se croisent enfin sur la plus grande des scènes européennes. En Rade avec Mourad Boudjellal comme en banlieue parisienne avec Jacky Lorenzetti, elle a (re)commencé en 2006. Ces deux anciennes gloires hexagonales ont atteint au même rythme les sommets, retrouvant ensemble la grande Europe quatre ans plus tard.



C’est là que les chemins se séparent. Toulon est le roi incontesté de la compétition depuis trois saisons; le Racing 92, lui, peine à gravir les derniers échelons. Il a disputé au printemps dernier le tout premier match de phase finale européenne de son histoire, pour une désillusion majuscule, avec un drop de Marcelo Bosch offrant la victoire aux Saracens à la sirène aux sonorités de glas (11-12).



À peine moins impressionnants en poule que la saison dernière (une défaite), les Ciel et Blanc ont maitrisé leur parcours pour s’offrir un nouveau quart à domicile. L’arrivée de Dan Carter en décembre dernier a été programmée pour ces matchs couperets, à commencer par ce choc tellurique face au triple tenant du titre.



Les joueurs de Laurent Labit l’abordent rassérénés par leur succès à Bordeaux, une semaine après avoir été dominés par une équipe toulonnaise amplement remaniée (20-21). Avec une formation plus proche de celle supposée débuter dimanche au stade Yves-du-Manoir, le RCT s’est de son côté fait piéger par Clermont, le grand absent de ce grand huit. Plus grave, il a perdu Drew Mitchell pour un mois et croise les doigts pour Guirado, Giteau et Habana.



En début de soirée dimanche, Jacky Lorenzetti saura si son Racing 92 tient enfin sa première demi-finale européenne; Mourad Boudjellal saura si le rêve fou d’un quadruplé s’est envolé comme il en est persuadé, et Bernard Laporte s’il lui reste encore un ou deux matchs européens avant de quitter le navire et la Rade.



Depuis 2012, Toulon est invincible en phase finale. Encore présent ce printemps grâce à des nerfs et une défense d’acier cet hiver, les Varois ont toujours joué leur quart à domicile sur la route de leurs sacres. 

 
Points clés

  • Le Racing a remporté 6 de ses 7 derniers matchs à domicile en Champions Cup, concédant sa seule défaite face aux Saracens au même stade l'an passé. 
  • Toulon a gagné ses 9 derniers matchs en phase éliminatoire de Champions Cup, sa seule défaite à ce stade est intervenue face à Perpignan en quarts de finale de l'édition 2010/2011. 
  • Ce sera d'ailleurs le 1er quart de finale de Toulon en déplacement en Champions Cup depuis celui face à Perpignan en 2011. 
  • Le Racing n'a plus perdu 2 matchs consécutifs en Champions Cup depuis l'édition 2013/2014 (4 à la suite). 
  • Toulon a gagné ses 2 derniers déplacements en Champions Cup, une 3ème victoire consécutive égalerait sa meilleure série dans la compétition. 
  • Seul le Racing (6) a encaissé moins d'essais que Toulon en Champions Cup cette saison (7). 
  • Le Racing n'a d'ailleurs jamais encaissé d'essai en première période dans la compétition cette saison. 
  • Toulon va disputer son 6ème match face à un club français en Champions Cup (3 victoires, 2 défaites), il ne s'est jamais imposé en déplacement dans ce cas. 
  • Le Racing affiche 87% de réussite au tir en Champions Cup cette saison, meilleur ratio. 
  • Le Racing (9,7) et Toulon (8,5) ont gagné plus de turnovers par match que toute autre équipe dans la compétition cette saison.

 

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COMPTE RENDU: Le Racing 92 fait tomber le champion

dimanche 10 avril 2016

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COMPTE RENDU: Le Racing 92 fait tomber le champion

Dans une ambiance extraordinaire au stade Yves-du-Manoir, les Ciel et Blanc ont décroché la première demi-finale de Champions Cup de leur histoire (19-16). Fin d'hégémonie pour Toulon, qui ne sera pas sacré une quatrième fois champion d'Europe.

Dans une ambiance extraordinaire au stade Yves-du-Manoir, les Ciel et Blanc ont décroché la première demi-finale de Champions Cup de leur histoire (19-16). Fin d’hégémonie pour Toulon, qui ne sera pas sacré une quatrième fois champion d’Europe.

En baisser de rideau d’un week-end de Coupes d’Europe exceptionnel, l’affiche promettait un final époustouflant, un dernier quart d’ambitieux entre le triple champion d’Europe et le rival Ciel et Blanc, tant attendu à ce niveau. Il ne pouvait en rester qu’un. Ce sera donc le Racing 92, qui a remporté un duel étouffant face au RCT, qui abandonne là un titre qu’il a remporté ces trois dernières saisons.



Rarement un quart de finale européen n’était parti aussi fort, donnant le ton sous le soleil accueillant de Colombes. Les tribunes, combles comme jamais, s’époumonent après dix secondes de jeu et une première pénalité déjà offerte à Dan Carter, l’homme de la situation.



On a très vite craint le pire pour Toulon, car la troisième minute n’est pas écoulée que Juan Imhoff intercepte une passe de Mermoz et relance sur 80 mètres pour une banderille trop tôt plantée. La réponse toulonnaise, déjà impérative, intervient au bout d’une action lumineuse et quelques temps forts. Le choix de Bernard Laporte d’aligner Charles Ollivon est payant (10-7, 10e) après une brèche ouverte par Tuisova.



L’image est plutôt rare alors on signale ce drop manqué de Carter, perturbé par les rafales tourbillonnantes et la défense efficace des Toulonnais, qui subissent. Le combat se déroule dans leur camp mais ils retrouvent cet acharnement défensif qui leur vaut d’être encore en course après un quadruplé insensé face au Racing 92.



Sans Szarzewski ni Alexandre Dumoulin, sortis blessés, les Racingmen reculent et partent à la faute. Mais ni Delon Armitage de loin, ni Jonathan Pélissié, ni Dan Carter ne trouvent la cible. Le demi de mêlée toulonnais, dans l’axe, finit par remettre les deux clans dos à dos juste avant la pause (10-10).



Un chassé-croisé s’organise au retour des vestiaires, mais Dan Carter, boitillant, laisse les tirs au but à Maxime Machenaud qui en deux tentatives refait passer les siens devant (16-13, 51e).



Toulon se retrouve encore au coeur d’une bataille étouffante, où le moindre essai fait tourner le sort d’un match, où sa très grande expérience dans la compétition peut faire la différence à tout moment. Le Racing 92 ne veut, lui, pas revivre le cauchemar du quart de l’an passé, sur cette même pelouse, face aux Saracens (11-12). Et les deux équipes se livrent sans compter.



Le public déchaîné donne un supplément d’âme, chaque ballon grappillé est l’occasion de s’enflammer, chaque plaquage raté, chaque espace trouvé fait vibrer la foule. Et chaque tentative face aux perches est un moment déterminant. Pélissié s’exécute. La dernière demi-heure sera à l’étuvée (16-16, 59e) comme ces longues minutes passées sous les poteaux des Toulonnais, qui finissent par récupérer la balle.



La lutte est acharnée jusqu’au bout, Delon Armitage puis Machenaud, face aux perches, laissent le suspense entier en manquant leur coup de pied, le Francilien manquant une véritable balle de match entre les pieds à cinq minutes du terme.



Il a exactement la même deux minutes plus tard, un peu plus près, après une faute de Chilachava. Une marée Ciel et Blanc explose lors que la balle trouve sa cible, en plein coeur des Toulonnais. Il ne reste pas deux minutes, les dernières de Toulon avec la couronne de Champion d’Europe sur la tête.



Le Racing 92 sera peut-être son successeur à Lyon le 14 mai prochain. Il jouera sa place au Grand Stade dans quinze jours à Nottingham face à Leicester.

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