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Le Stade français reçoit samedi soir à 21h les London Welsh, pour définitivement valider sa qualification en quart de finale d’Amlin Challenge Cup. Le club de la capitale n’aura pour cela besoin que d’un point.
Bénéficiant de la « déchéance » grenobloise et après avoir fait un très beau parcours dans cette poule 5, Paris est désormais sur la voie royale dans l’optique de disputer un quart de finale européen.
Avec un matelas de 5 points en tête du classement du groupe, il ne peut plus être rejoint que par un improbable concours de circonstances.
Il faudrait tout d’abord que Grenoble aille obtenir une victoire bonifiée sur la pelouse de Prato. Un scénario qui ne peut pas être totalement éludé, au vu des performances iséroises et du niveau modeste des Transalpins.
Et quand bien même le FCG obtiendrait ces 5 points, il faudrait que le Stade n’en recueille aucun lors de la venue des Exilés samedi. Ce qui serait une fâcheuse contre-performance après être allé gagner 68 à 19 en Angleterre.
Les Parisiens n’ont donc plus qu’une infime partie du chemin à parcourir. Ils tenteront certainement d’enfoncer le clou pour éventuellement disputer leur quart de finale à domicile.
Le Stade français remporte une victoire en demi-teinte face aux London Welsh (39-17), et se qualifie pour les quarts de finale en Amlin Challenge Cup sans vraiment convaincre. Le club de la capitale devra certainement se déplacer pour son premier match éliminatoire.
L’objectif était double pour le club de la capitale à l’occasion de ce dernier match de phase de poules. Il s’agissait dans un premier temps de valider la qualification. On imaginait mal comment celle-ci pouvait d’ailleurs échapper aux Parisiens à qui il manquait un petit point, face à une équipe qu’ils avaient étrillée à l’aller.
Il s’agissait dans un deuxième temps de marquer pas moins de onze essais afin de recevoir leur quart de finale. Cet objectif-là fut loin d’être rempli, au terme d’un match brouillon qui laissera certainement un goût d’inachevé au staff parisien.
Les hommes en rose ont tout de même passé six essais à leurs adversaires, par Arias (10e), Papé (28e), Doumayrou (35e), Bonfils (54e) et Fainifo (75e), plus un essai de pénalité (46e). Surpris par deux essais en contre de MacKenzie (58e, 62e), le Stade français aura montré d’inquiétantes limites.
Le principal est donc assuré pour Paris qui se dirige vers les phases finales d’une compétition dont il a fait une priorité majeure. C’est probablement un déplacement à Bath qui se profile pour les coéquipiers de Pierre Rabadan.
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