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Statistiques tournoi
Opposé à Lyon dans le cadre des huitièmes de finale de l’EPCR Challenge Cup, le Stade Français Paris tentera de faire tomber le tenant en titre de la compétition, à Jean-Bouin.
Auteur d’une bonne saison en TOP 14, le Stade Français Paris, vainqueur de la Challenge Cup en 2017, a bien l’intention de continuer son aventure cette saison dans la compétition. Mais les Parisiens devront se méfier d’une formation du LOU déterminée à défendre sa couronne après son sacre en 2022 à Marseille.
Cette rencontre, dont le coup d’envoi sera donné à 16h00 à Jean-Bouin, sera retransmise en direct sur beIN SPORTS.
Ils ont dit…
Julien Arias, entraîneur des trois-quarts du Stade Français : « Lyon a beaucoup d’atouts, notamment offensif. C’est la meilleure attaque du TOP 14 avec des joueurs d’un très haut niveau. C’est une équipe qui porte beaucoup le ballon, qui fait beaucoup de passes après contact. On s’attend à une partie compliquée ».
Points clés
- Nadir Megdoud a battu plus de défenseurs dans l’EPCR Challenge Cup que n’importe quel autre joueur (14).
- Le Stade Français n’a pas encore perdu de mêlée sur sa propre introduction dans ce tournoi. Les Parisiens ont remporté quatre pénalités et trois coups francs sur leurs 26 mêlées.
- Le Stade Français Paris a concédé dix turnovers dans les 22 mètres adverses, plus que toute autre équipe.
- Léo Berdeu a marqué autant de points que n’importe quel autre joueur lors de la Journée 4 de la Champions Cup (16, tout comme Handré Pollard des Leicester Tigers).
- Lyon a marqué un essai lors de 42% de ses incursions dans les 22 mètres adverses, un taux d’efficacité supérieur à toute autre équipe.
- Lyon a effectué plus de passes après contact que toute autre équipe en Champions Cup (62), une moyenne de 15,5 par match.
En déplacement à Jean-Bouin, dans le cadre des huitièmes de finale de l’EPCR Challenge Cup, Lyon s’est défait du Stade Français Paris (24-41) et retrouvera le RC Toulon en quart de finale.
6ème. Après six minutes de jeu, les Parisiens ont inscrit les premiers points de la rencontre avec une pénalité de Joris Segonds (3-0).
Sopoaga trouve les poteaux. Le numéro 10 néo-zélandais a permis au LOU de recoller au score avec une pénalité plein axe (3-3, 10ème).
Le LOU sanctionné. Coupable d’un plaquage haut, le centre du LOU Veredamu a écopé d’un carton jaune. Sur la même action, l’arbitre de la rencontre a accordé un essai de pénalité aux Parisiens (10-3, 19ème).
Lyon s’accroche. Après avoir vu leur essai refusé, les Lyonnais ont malgré tout réduit la marque avec le Stade Français Paris avec une pénalité de Sopoaga (10-6, 30ème). Le buteur du LOU a ramené son équipe à un petit point juste avant la pause (10-9).
10-9 à la pause pour Paris
Segonds ne tremble pas. Dès les premières minutes de la seconde période, le buteur du Stade Français Joris Segonds a redonné un peu d’air à son équipe en trouvant les poteaux lyonnais à deux reprises (16-9, 45ème).
Paris fait le break. Les Soldats Roses ont confirmé leur bon début de seconde période avec un essai en coin du centre Théo Dachary (21-9, 48ème).
Lyon se relance. Le numéro 11 du Stade Français Peniasi Dakuwaqa a écopé d’un carton jaune pour un en-avant volontaire. Sur la même action, l’arbitre de la rencontre a accordé un essai de pénalité aux Lyonnais (21-16, 52ème).
Le LOU aux commandes. Sur une très belle inspiration de son demi de mêlée Baptiste Couilloud, qui s’est ouvert seul le chemin de l’en-but, le LOU a basculé en tête (21-23, 57ème).
Paris ne lâche rien. Joris Segonds a continué de faire parler sa précision au pied en trouvant les perches du LOU pour redonner l’avantage au Stade Français (24-23, 63ème).
Lima Sopoaga ne tremble pas. Alors qu’il restait dix minutes à jouer à Jean-Bouin, le buteur du LOU a réussi deux précieux coups de pied pour donner cinq points d’avance aux hommes de Xavier Garbajosa (24-29).
Marchand délivre le LOU. A la suite d’un bon ballon porté du pack lyonnais, le talonneur Guillaume Marchand a inscrit l’essai de la victoire (24-34, 79ème).
Il a dit. « Cela a été très difficile, notamment en première période. On n’y était pas dans l’intensité. Mais on avait à coeur de montrer que notre titre n’était pas un hasard. C’est bien pour le club. » Baptiste Couilloud, désigné Homme du Match.
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